Il faisait chaud (pas comme cette année) et je fus pris au dépourvu pour une « miniaturade » au Japon.
Il faisait chaud (pas comme cette année) et je fus pris au dépourvu pour une « miniaturade » au Japon.
Maico Akiba est un artiste qui aime le temps. Celui qui passe, et surtout les traces du temps. Ses premières œuvres exprimaient l’usure de celui ci, et, il avait détourné des objets contemporains pour en faire des reliques, des vestiges archéologiques, comme une sorte d’anachronisme à rebours
Un de ses dernier travail, Sekaï (Monde), reprends son obsession temporelle mais sur le registre de l’accumulation.
Il en ressort des objets dégageant une certaine sagesse. Les animaux « customisés » deviennent le véhicule d’une utopie où l’on pourrait rêver d’une humanité soutenue et harmonisée par la nature.
Simple et beau. Pour ma part j’adore les figurines (vous vous en doutez) et celles-ci sont typiques de celles que l’on trouve au Japon, avec ce mobilier urbain, ces maisons, et ses personnages à l’échelle 160ème. (N)
Sa page ici.
Pour l’instant vous ne risquez pas un coup de soleil, mais plus tard pensez à vous protéger pour éviter de ressembler à un abricot sec.
Joli projet en collaboration avec la marque Energizer pour un évènement RP. Le défit était de faire vivre des petites piles boutons.
Les images sont visibles jusqu’au 5 Juillet à la Galerie l’Imprimerie, 16 Rue Saint-Merri à Paris.
Un portfolio sportif dans les pages de ce magazine Hollandais spécialisé dans la randonnée, HIKE & TREKKING.