L’histoire étant trop simple, pas de devinette cette fois. Juste le détail d’une suite à la série des œufs commencée il y a… 8 ans avec « Penalty »!
Personnellement, je trouve les œufs blancs très beaux, très inspirant, reposant.
L’histoire étant trop simple, pas de devinette cette fois. Juste le détail d’une suite à la série des œufs commencée il y a… 8 ans avec « Penalty »!
Personnellement, je trouve les œufs blancs très beaux, très inspirant, reposant.
C’est un peu comme cela que vous pourriez interpeller les personnages botaniques de
Ju Duoqi. Cette artiste chinoise que je reprends dans ce modeste blog, s’intéresse aux végétaux, et surtout aux légumes. Son second centre d’intérêt : L’art. Mariez les deux et vous obtiendrez… Arcimboldo ? Non pas tout à fait et c’est là sa grande originalité.
Ces images sont une recomposition de tableaux figuratifs célèbres à partir de multiples éléments végétales montés ensemble numériquement. Elle n’est pas la première à le faire, mais là où elle dénote, c’est dans sa capacité à traduire l’œuvre de manière à retrouver les modelés, les proportions, les couleurs et les lumières des œuvres. La lumière est un atout particulièrement maîtrisé, car par exemple dans une reproduction de Goya (The Third of May 2008), ou de Rembrandt (The Anatomy Lesson of Dr. Pickled Cabbage) elle s’est attachée à respecter les ombres, les intensités lumineuses avec une grande acuité. Ce n’est pas le travail « hyperréaliste » de Carle Warner, car cela verse dans le grotesque, mais l’humour et la redécouverte des œuvres ainsi « caricaturées », tend à nous les rendre plus accessibles et fraîches.
Celui-là pourrait bien voler le troupeau complet! Mais qui est-il?
Vous avez peut-être déjà reçu sur dans vos Email des images de Peter Callesen. Comment définir son travail? Si je dis qu’il fait du papier découpé, houla c’est très réducteur!
Au regard de son œuvre, qui est exceptionnelle, sa maîtrise impressionnante à passer d’une dimension à trois dimensions me fascine toujours. De plus sa poésie, (parfois morbide) est délicate, claire, « ciselée ». J’aime.
L’œuvre présentée, FALL, 2008, est réalisée sur un grand format, mais ses découpages sur du format A4 restent néanmoins le plus beau travail.
On reprend les mêmes et l’on recommence. Tous les personnages du Petit Chaperon Rouge sont là: Le Chaperon, le loup et le bûcheron (hors champ, et la mère-grand dans son lit).
Mais alors, rien à changé!? Si ! la forêt. Une forêt de quoi au fait?