Ce n’est pas un grand diplôme, mais c’est toujours gratifiant. Merci au magazine Alberta Venture.

It’s not a great award, but it’s always encouraging. Thank you to Alberta Alberta Venture.

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Voilà un recueil de photos surprenantes. Vous retrouverez beaucoup d’artistes déjà cités dans ce blog, et d’autres, géniaux, succulent, déroutant. Un vrai plaisir.

This is an amazing collection of photos. You will find many artists already mentioned in this blog, and others, great, succulent, confusing. A real pleasure.

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C’est avec beaucoup de retard que je vous dévoile la parution à laquelle nous avons participé. Le restant du Magazine est splendide, achetez le, c’est un beau document!

Canopée

Après l’Alberta Venture, voilà un magazine de l’Ontario qui nous ouvre ses pages.

Décidément les Canadiens aiment les Minimiams. Utne est un magazine alternatif. Au sommaire : La solitude du pouvoir, la guerre de la nourriture (c’est là que nous intervenons), combien votre Iphone à consommé d’eau (?), êtes vous un écolo snob ? Pourquoi ce magazine est mieux qu’un autre? Parce-que ce magazine fait une sélection pointue des meilleurs articles parus dans la presse américaine, qui traitent des faits de sociétés, de l’économie, de l’écologie, et de tout ou presque.

Utne.

La magazine ELEPHANT nous à invité dans ses pages. À réception, nous eûmes bien des surprises et des bonnes. En effet ce magazine de très grande qualité (c’est flatteur) à réalisé un petit condensé des différents artistes qui travail avec des figurines. Si vous aviez parcouru ce blog depuis le début, vous auriez trouvé déjà quelques artistes publiés aujourd’hui, comme Slinkachu, Audrey Heller (couverture), mais d’autres, non cité, par exemple Thomas Doyle et ces mini installations sous cloche de verre, un travail magnifique. Vous y verrez aussi Jonah SAMSON, plus glauque, et surtout un peu plagiaire du travail de Paolo Ventura, à vous de juger. Il y est présenté aussi Vincent Bousserez, un « collègue » français dont le travail ne manque pas de qualité, mais dont je regrette parfois, malheureusement, son premier degré. Néanmoins la qualité photo est là, et au moins cela est plaisant à voir. Il y a aussi Jason Barnhart, images plus crus, parfois visuellement limites, mais les idées sont là. Dommage donc que cela soit fait un peu « par-dessus l’épaule » à mon goût car il y a des petites perles narratives dans son travail.