Les dioramas sont souvent des sortes de trompe l’œil, mais leurs besoins d’hyperréalisme, ou au contraire, leurs aspects bricolés, en font des choses au final, soit sans sens, soit sans histoire, ou les deux à la fois.
Lori Nix avait commencée une série magnifique qui bousculait les frontières du genre, et Thomas Doyle, au contraire, lui, referme ses frontières, et clos le procédé. À travers ses installations minutieusement élaborées, qui dégagent une atmosphère étrange, irréelle, elles nous font témoin de scène d’une angoissante élégance.
•