Voilà une idée qui traine dans nos cartons depuis… trop longtemps.(Le premier croquis datait de Novembre 2009).
L’idée très simple était de se servir de ces fausses feuilles qui servent de séparation dans certain plateau de nigiri sushi.
Remerciement au restaurant IZUMI et son chef Kazuhiro Takahashi (Paris 8eme) et Patrick Duval pour la confection des nigiris.
La chasse aux œufs est fermée.
Attention à la contravention si votre gourmandise vous pousse au délit.
Les lapins sur la photo étaient si petits que lorsque j’ai débarrassé le plateau, j’en ai mangé un sans m’en rendre compte avec un éclat de chocolat. C’était la première fois que je mangeais un lapin entier aussi vite!
Le hamburger provocant l’ire de la gastronomie, mais maintenant porté aux nues par la bistronomie, est pourtant un plat qui peut coûter très cher à une société vis à vis de sa santé physique.
Mais le « burger », si mauvais, et si bon à la fois! La tentation est grande et comment ne pas tomber dans le piège?
Un projet de 2016 enfin réalisé en 2017.
L’image ICI
Une image de saison.
On est revenu à la genèse des Minimiams avec une composition aussi simple que l’histoire.
Sur les cimes odorantes du fromage, mieux vaut faire attention aux coulés!
Le Diptyque ICI.
En 2012 j’ai réalisé une image inspirée d’un film de Gérard Oury, qui a marqué ma génération: La Grande Vadrouille. J’avais repris une scène emblématique du film, celle où les deux « héros » lancent des citrouilles à la tête de soldats allemands dans une poursuite improbable.
Mais les joies de l’informatique firent que les fichiers disparurent à jamais dans les recoins binaires d’une sauvegarde malheureuse.
Seul les IMAGES en basse définition reste dans les méandres du net.
Furieux, navré, presque désespéré (vous ne pouvez pas savoir comment un photographe peut être malheureux à la perte d’une image…) j’ai toujours voulu en refaire une, mais il est difficile de reproduire, même ses propres images. On perd un peu de la magie, de la découverte, de la surprise.
Finalement, pour tordre le cou à cette petite démangeaison et pour faire mon deuil, j’ai fais renaître cette image.
Encore merci Mr Oury, mon enfance n’aurait pas été la même si je ne vous avais pas connu.
