Au début, on dépose des meringues de différentes tailles et d’aspects. Ce n’est pas une volonté, c’est un concours de circonstances, et là je parle des formes:
En effet, en ayant raté une première fournée, j’ai demandé à François (excellent pâtissier du restaurant Antoine à Paris) comment bien les réussir. Après bonnes notes, j’ai essayé à nouveau, et…, j’ai fini par en acheter !
Et bien même en acheter n’est pas moins facile, car les boulangeries, avides de profits rapides (surtout à Paris) délaissent, voir méprisent cette recette. Simple pourtant ! Peu coûteuse en plus ! Alors ? Comme me disait François, il faut les préparer le soir, et les mettre au four toute la nuit ! Moi qui croyais que les boulangers pâtissiers ne dormaient pas, que nenni, maintenant ils pioncent sur leurs deux oreilles, et la meringue s’ensommeille.
Bref, après quelques tours et détours pour en trouver, me voilà avec des belles bêtes, bien joufflues, constellées de fruits confits (que j’ai enlevé pour l’image.)
J’espère que cette image n’illustrera pas vos vacances au ski, néanmoins faite gaffe, je suis sûr que la meringue est moins lourde que la neige.