Que c’est joli l’Alsace!
Ses cigognes, ses façades pittoresques et ses spécialités culinaires plus légères les unes que les autres! Faire le tour d’un marché de Noël dans cette belle région est un plaisir pour les yeux et pour l’estomac.
En effet on peut y voir des stands de charcuterie à faire damner un Saint. Mais ce n’est pas pour une saucisse que je me damnerai, oh que non, mais bien pour cet ovni chocolaté (voir photo). Cela ressemble à s’y m’éprendre à un Mélo cake (industriel), mais c’est plus haut, richement décoré, luxuriant de sucre. Il n’a pas été possible d’avoir le nom Alsacien, ou Allemand de manière précise de cette chose, le seul indice c’est que cela ressemble à “Malokoff”. Si vous connaissez le nom, n’hésitez pas. Si vous passez par Riquewihr, cela vous fera 12,5€ les 25 pièces assorties!!!

Détail d’un stand où ils vendaient nombre de petites merveilles comme celles-ci.(Strasbourg)

Il n’y a pas de mal à se faire de la pub.

Un p’tit puzzle?
Une petite carte de vœux?

Je viens de découvrir ça et c’est énorme. Une société plus connue pour faire des blondes en plastique de renommées mondiales, avait, dans les années 80, sortie une production à tel point décalée et hallucinante, que je me demande ce qu’ils mangeaient à cette époque. (des champignons peut-être?)
Bref, les FOOD FIGHTERS sont des aliments, disons plutôt de la junk food, qui se seraient muté en dangereux mercenaires. Il y a Privat Pizza, Major Legg (une cuisse de poulet), Major Munch (un Donut dont une variante était avec un napage framboise des plus criard), et plein d’autre. Pour les admirer sur catalogue, allez voir par là, ou si vous préférez l’action et les grands moments de cinéma, cliquez ci dessous.

Si vous passez par le Japon, je vous conseil d’aller sur l’île de SADO.
Elle est réputée pour ses fruits de mer, la gentillesse de sa population, ses arts du spectacle traditionnel, ses montagnes enneigées et ses couchés de soleil sur une mer aux rivages aussi magnifiques qu’accidentés.
Mais elle était aussi réputée jusqu’en 1984 pour sa mine d’or. Il est possible de la visiter, du moins en partie, et admirer son musée. Dans celui-ci, il y a un diorama extraordinaire d’une dizaine de mètres, représentant toute la chaîne de production de l’or à l’époque d’Edo, du mineur jusqu’au coffre-fort du Shogun. Donc plein de petits personnages qui trouent la montagne comme du gruyère !

Les Minimiam sont au Japon pour de nouvelles aventures. Ils se rechargent les batteries, s’inspirent et se gavent de Ninja Makis.
À Bientôt.