Tristement, le magazine Bonbek a passé la page à gauche, et sa créativité a été sacrifiée à la potence de la rentabilité.
Quel dommage. Le papier et l’impression étaient de grande qualités, les thèmes étaient bien mis en pages, les illustrations magnifiques, et surtout, avec Orathay, on s’éclatait bien à concocter pour le jeune lecteur, des petites recettes au thème du magazine.
Mais avant de mettre le crayon sous la porte…